DOGI FIMWANA ESSABE, un homme qui milite pour les droits des femmes et de la jeune fille

Après avoir reçu le prix de 100 jeunes pages d’Espoir de la rdc dans la catégorie engagement pour la promotion des droits des femmes, de la jeune fille, de l’enfance et de la jeunesse.

Ensuite c’était aux mains de la conseillère du président de la république en charge de la jeunesse, lutte contre les violences faites à la femme et la traite des personnes Chantal MULOP YELU que ce dernier a reçu le prix de Héros de la masculinité positive .

c’est maintenant le tour de l’ambassade des états unis à travers la plate-forme YALI ( Young African Leaders Initiative) de lui récompenser pour ses activités qu’il mène pour la défense des droits des femmes et de la jeune fille .

DROITS DES FEMMES ET DE LA JEUNE FILLE  : UN COMBAT POUR L’ÉGALITÉ QUI NOUS CONCERNE, TOUTES ET TOUS Dixit Monsieur DOGI FIMWANA ESSABE

Congo Etoiles Magazine 🙌

16 jours d’activisme : L’association humanitaire cri des mères a lancé une série des formations des ambassadeurs de la lutte contre les VBG

En marge de la Campagne des 16 jours d’activisme initiée par Onu femmes, l’association humanitaire cri des Mères a organisé une séance de formation à l’intention des jeunes à travers sa startup HumanitylabProjec, le 25 Novembre dernier.

DOGI ESSABE FIMWANA, chargé de projets de l’association humanitaire cri des mères a précisé que l’objectif est de sensibiliser ces jeunes et les inciter à devenir des ambassadeurs qui militent contre les violences basées sur le genre #VBG dans leurs communautés .

DOGI ESSABE FIMWANA

Solange Meta entrepreneure sociale, Eliane Kikudi coordonnatrice de la fondation Pakadjuma Résilience, Falonne Mambu, artiste peintre, Belinda Dongo présidente de JCI RDC et Maguy MBUKU Journaliste spécialiste des questions de femmes appelé communement « Molobeli ya Basi », ont été les intervenantes du jour.

Eliane KIBUBI : « L’enfant et la femme ne sont plus des propriétés de l’homme mais des personnes humaines dotées désormais des droits par la Constitution de la République et la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations Unies », a martelé Mme Eliane Kibubi, avocate et coordinatrice de la structure appelée « Pakadjuma Résilience », dans son message de circonstance.

Me ELIANE KIBUBI

Maguy MBUKU : Dans son exposé axé sur « le traitement de l’information et interaction par différents canaux médiatiques », Maguy MBUKU a appris à ces jeunes Ambassadeurs, les principes de collecte et de traitement des informations de manière professionnelle, avant de les publier. Cette femme des médias a insisté sur la protection des victimes lors de la publication des informations liées aux violences.Elle a également donné des stratégies pour susciter l’interaction directe avec les internautes sur les violences basées sur le Genre qui ronge la société.Elle a également donné des stratégies pour susciter l’interaction directe avec les internautes sur les violences basées sur le Genre qui ronge la société.

MAGUY MBUKU

FALONNE MAMBU : une ancienne victime de maltraitance et de viol a fait des témoignages poignards invitant à revenir sur son identité de la personne humaine et aux parents d’être des amis de leur progéniture pour ne pas les exposer à ce fléau.

FALONNE MAMBU

SAMIRA NGOIE :  a demandé aux jeunes Ambassadeurs de savoir dénoncer les violences basées sur le genre dans la communauté, à travers le numéro vert 495555 dédié aux victimes des violences.

Projet PERCE.
Vous pouvez dénoncer tous les actes de violences .
La ligne permet de mettre en place 3 dispositifs :
– téléconseil (réception de la plainte)
– visite dans un hôpital (soutien médical et/ou psychologique)
– soutien ou conseil juridique

SAMIRA NGOIE

BELINDA DONGO LUMINGU : en échangeant avec des futurs ambassadeurs de 12-18ans autour des strategies d’implementation de projet autour des VBGs!
Un echange simple et pratique pour les inciter a etre des jeunes anti VBG dans leur communauté!

BELINDA DONGO LUMINGU

AUREOLE META SOLANGE : Abordant son thème  Comprendre les droits des femmes et filles , elle aborde le sujet sur 3 leçons:
1.« Soutenir le droit des filles à l’instruction »  Dans cette leçon, nous examinerons l’importance de l’égalité de l’accès à l’éducation pour les femmes et les filles. Nous parlerons des effets néfastes de la non-scolarisation des femmes et des filles et de ses conséquences à long terme pour les pays qui ne s’occupent pas d’elles. Et nous parlerons des moyens de rallier la communauté et de mettre en oeuvre un programme pour instruire les femmes et les filles, à travers un exemple.
2. « Ouvrir la voie aux femmes entrepreneures »  ici , nous soulignerons le rôle clé des femmes dans l’économie d’un pays. Nous examinerons les préjugés sexistes rencontrés par les créatrices d’entreprises. Et nous parlerons des stratégies et outils pour répondre à certains types de discrimination sexiste, dont les stéréotypes sexistes négatifs qui peuvent empêcher les femmes de réussir en affaires.
3. « Mettre fin à la violence contre les femmes et les filles »   Dans cette leçon, on discutera des faits choquants liés à la violence contre les femmes et les filles et leurs conséquences dévastatrices. On parlera du devoir qui incombe aux hommes de prévenir la violence liée au genre et des moyens de contrer cette violence.

AUREOLE META SOLANGE

A la fin de cette formation, le chargé de projets de l’association humanitaire cri des mères a remis des certificats de reconnaissance à toutes les intervenantes pour le travail qu’elle ne cesse de faire pour la promotion des femmes ainsi qu’aux participants de la dite formation.

Les participants ont pris la résolution de protéger les victimes et de prendre des précautions pour ne pas tomber dans le travers quant au traitement des cas échéants.

Congo Etoiles Magazine

l’image des jeunes dynamiques congolais

HumanityLab Project , c’est une start-up humanitaire créée par Dogi FIMWANA ESSABE responsable des projets de l’association humanitaire cri des mères, bien décidé à mettre à profit ses compétences pour rendre visibles et audibles les oubliés de tous et les accompagner dans leur développement. Aujourd’hui, nous avons l’honneur de lui donner la parole sur notre Magazine Congo Etoiles magazine ! L’occasion aussi d’en savoir plus sur son parcours, ses expériences et sa vision de l’humanitaire.

Peux-tu te présenter et présenter ton parcours à nos lecteurs ?
Je m’appelle Dogi FIMWANA ESSABE et je suis fondateur de la start-up humanitaire HumanityLab Project. J’ai toujours voulu être au service de l’humanité et c’est pour cela que j’ai souvent consacré une bonne partie de mon temps  à soutenir des causes qui me tenaient à cœur en montant, à mon humble niveau, de modestes projets solidaires. je suis gestionnaire des projets humanitaires (conception et pilotage).

Dogi FIMWANA ESSABE

Pour quelles organisations travailles tu ? je suis chargé des projets de l’association humanitaire cri des mères,  c’est l’association pilote de la start-up humanitaire HumanityLab

Quelle est ta vision de l’humanitaire ?
Ma vision est celle d’un gestionnaire convaincu que ce secteur pourrait se voir offrir de nouvelles perspectives s’il entrait dans une nouvelle ère, où chacun pourrait être, à son tour , un ambassadeur humanitaire.
Mais le challenge est grand. Bousculer le statu quo d’un tel secteur n’est pas chose aisée quand bien même il souffre d’une défiance de donateurs à la confiance ébranlée par de rares mais ô combien retentissants scandales de détournements de dons ou de dérives liées à la cause humanitaire.

Quelle a été ta plus belle expérience dans l’humanitaire ?
Ma plus belle expérience dans l’humanitaire,  j’en ai plusieurs mais je vais vous dire le meilleur mais ça n’a pas pris fin je vit encore cette expérience c’est mon rapprochement avec les enfants en situation de rue qu’on appelle abusement shegueys .

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te lancer dans l’aventure HumanityLab Project? sachant que  la majorité des personnes ont des idées sur les problèmes humanitaires cela m’a poussé a créer un lab humanitaire pour donner la chance aux participants de voir leurs projets être réalisés . je souhaite accompagner les projets des plus jeunes au plus vieux dans leur développement tout en éveillant la fibre solidaire qui sommeille en chacun.

Pourquoi le nom : “HumanityLab Project” ?
Juste pour dire que c’est un laboratoire des projets humanitaires.

Quelle est selon toi la valeur ajoutée de HumanityLab  Project?
– nous accompagnons les projets de plus jeunes à partir de 12 ans
– accompagné les projets des élèves
– faire en sortes que  tout le monde soit capable d’apporter une idée pour l’humanité.

Peux-tu nous parler de la première action HumanityLab Project?
Pour le moment je préfère me taire vous en saurez plus lors de la sortie officielle au mois de septembre et là nous allons vous dévoiler notre calendrier des activités


Nous avons identifié de nombreuses causes sous-exposées à travers le monde. Difficile de dire, à l’heure actuelle, quel sera notre premiere action mais . Plusieurs thématiques seront abordées. L’aide et la protection de l’enfance, la lutte contre l’exclusion, la pauvreté et la faim, les droits des femmes et l’entreprenariat … Toutes les actions s’inscriront dans les Objectifs de Développement Durables

Un petit mot pour la fin ? Nous lançons un appel à toutes personnes qui a une idée ou projet qui peut etre bénéfique à l’humanité de venir intégrer la start-up HumanityLab Project


Cecile Manya : « Patrice Lumumba – le Sankuru et l’Afrique » Un héritage reçu de mon père que j’aimerai transmettre aux générations futures



Salut ! Présentez-vous

Bonjour,

Je m’appelle Cécile Manya. Je suis Suissesse d’origine congolaise. Aujourd’hui écrivaine et plus encore, je suis arrivée à l’écriture de façon extraordinaire pour traduire dans un “langage humain” les révélations saisissantes que je reçois du Divin. J’ai à mon actif huit livres écrits en deux ans. Mes livres sont vendus partout ( Fnac, Amazon, Payot, etc. ) et dans le monde entier grâce à internet. Mes ouvrages sont également disponibles en version numérique ainsi qu’en gros caractères pour les personnes âgées ou malvoyantes. Je possède également ma propre boutique en ligne de qualité qui me permet d’envoyer des dédicaces dans mes livres à mes lecteurs.



Vouliez-vous devenir écrivain quand vous étiez petite ?

J’ai beaucoup écrit dans mon enfance ( chansons, scénarios, histoires, témoignages ), puis dans mon adolescence ( chansons, journalisme, histoires, poésies ) et enfin à l’âge adulte, mais ne pensais pas spécialement en faire un métier. Mon père, le Docteur André Manya, est un brillant chercheur et écrivain. Après son départ pour le repos éternel, j’ai vécu une expérience saisissante qui a scellé ma destinée… Je me suis mise à écrire pour parler de ce que j’avais vécu de l’année 2015 à 2016. Depuis, l’écriture ne me quitte plus. Mon père aurait été très fier de moi, car c’est la voie qu’il avait lui-même choisie.

Mais je vais vous faire une révélation importante : la présence de mon père est plus que palpable dans ma vie. Un coup d’oeil à mon site internet vous en expliquera la raison. Je vis au quotidien des choses extraordinaires et bénis le moyen d’expression qu’est l’écriture qui m’a reconnectée avec ma destinée…


Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire des livres ?


Je suis un Canal puissant pour les choses divines. J’exprime des vérités célestes que je reçois avec puissance.

Par-contre mon dernier livre “Patrice Lumumba – le Sankuru et l’Afrique” est basé sur les recherches excellentes qu’a effectué le Docteur Manya K’Omalowete a Djonga pour restituer au plus près l’héritage historique et politique du Premier Ministre Patrice Emery Lumumba. Le Docteur Manya est le spécialiste du sujet, et a été le premier à écrire un ouvrage complet sur le leader national. Chercheur émérite, il a eu accès à des informations inédites, il a pu interviewer des personnes-clés qui réservaient leur savoir à des personnes agréées. Le livre “Patrice Lumumba – le Sankuru et l’Afrique” est une véritable pépite qui donne un éclairage nouveau à l’histoire de notre cher Patrice Lumumba.

Être écrivain, pour vous, c’est plus un métier ou une passion ?

L’écriture, c’est ma vie. Je retranscris le plus fidèlement possible ce que je reçois et parle de ma vie qui est hors normes.

« Patrice Lumumba – le Sankuru et l’Afrique », Est-ce que vous avez écrit ce livre pour une occasion particulière ou pour témoigner de quelque chose en particulier ?

Ce livre se base sur les travaux de l’éminent chercheur André Manya K’Omalowete a Djonga, Docteur en sciences politiques de l’Université de Lausanne en Suisse. Je suis fière d’offrir au public un livre de cette qualité avec tout l’héritage historique qu’il renferme.

Au travers de ce livre, je m’affirme également en tant que défenseur de la véritable histoire africaine, en opposition aux falsifications que l’Occident veut trop souvent nous faire avaler. Il faut se méfier des médias occidentaux : ils travaillent pour promouvoir une idéologie qui est l’eurocentrisme. Je m’oppose à cela avec force et plaide pour ôter le voile qui cache à la majorité des Africains les réalités de la grandeur de leur histoire et de la force de leur héritage culturel. L’Occident n’est pas un exemple. Il a assis son statut sur l’oppression des autres, le pillage et le mensonge. Se faisant passer pour un saint, il est en réalité le pire des terroristes. L’histoire de Patrice Lumumba le montre bien.




Que pouvons- nous retenir de cet ouvrage ?

Nous mettons l’éclairage, mon père et moi, sur un leader, mais également sur sa région natale et ses habitants, les Sankurois, qui ont œuvré d’une façon formidable à l’accession de Patrice Lumumba au pouvoir et ont soutenu sa mémoire en combattants, après la mort du Premier Ministre. Trop de gens éludent cette partie de l’analyse de la vie politique de Lumumba, souvent par ignorance. Mon père et moi avons fait un travail de restitution des vérités importantes dans la trame du combat politique de Patrice Lumumba.

Est-ce que vous avez déjà initié un ou des événements publics (conférences, colloques) pour parler de votre ouvrage ?

Comme vous pouvez le constater sur mon site officiel, je parle énormément de cet ouvrage dans les médias. J’ai également la chance et le privilège d’avoir ma propre boutique en ligne de qualité qui me permet de travailler sereinement, tout en apportant à mes lecteurs un service d’envoi très respectable. En effet, mes chers lecteurs ont la possibilité d’obtenir, via ma boutique en ligne, une dédicace de ma main pour chaque commande.

Que représente la littérature pour vous?

La littérature est un moyen noble et respectable de faire entendre des idées, de changer la société, les mentalités et de coucher sur papier la vie de personnes extraordinaires. Il est dans ma nature d’écrire plus que de parler. La littérature est donc ma vie, ma parole et mon héritage aux générations futures.


Avez-vous un mot pour les jeunes écrivains congolais en général et la jeune fille en particulier ?

Je n’ai que des pensées d’amour et d’affection pour mon peuple et pour toute l’Afrique en général. J’ai envie de dire à chaque Africain de s’unir entre Africains afin de lutter, en Afrique et ailleurs, contre l’oppresseur blanc de façon efficace. L’Occident nous colonise de plusieurs façons tout en jouant sur les apparences. Mais l’unité des Africains est ce que l’Occident peut imaginer de pire contre son “règne”. Si nous voulons gagner la bataille de l’affirmation culturelle et du respect il faut cesser les divisions de toute nature.

J’encourage les jeunes écrivains congolais à devenir des chercheurs de leur propre histoire. Notre passé ne commence pas avec la colonisation ! L’Afrique a donné naissance à des hommes et des femmes bien longtemps avant l’apparition de la race blanche. Plongez-vous dans les manuels et les études afrocentrées, car c’est bien de l’Afrique que tout commence, et non de l’Europe !

Que les jeunes écrivains fassent honneur aux leurs en restituant les vérités souvent cachées de leur propre histoire.

J’encourage la jeune fille à lutter pour le relèvement de la femme en Afrique, car c’est par elle que tout commence. La femme africaine doit être la femme la plus respectée du monde, car le passé tout comme l’avenir de l’humanité est dans ses mains.

propos recueillis par Congo Étoiles magazine

Réfléchissons avec les femmes

L’élégance d’une femme ne se base pas que sur sa beauté physique , une belle femme sans intelligence sans charisme sans talent sans la vie chrétienne est vaine restons les femmes qui craignent Dieu les femmes respectueuses les femmes descentes les femmes indépendantes les femmes ambitieuses les femmes avec un esprit ouvert les femmes qui quand elle parle on l’écoute une femme est l’ensemble de tout car la femme ne se résume pas que par sa beauté.
dixit DORCAS THABITHA MBUYI

Plaidoyer pour la création d’un cadre de concertation des humanitaires congolais

Kinshasa, 21 aout 2021 (Congo Étoiles Magazine).- Quelques jeunes kinois œuvrant  dans le secteur de l’humanitaire notamment : Association Humanitaire Cri des Mères; ONG LISANGA ; FONDATION MABOKO YA ELIKYA; NDAKU YA BANA; ESENGO FOUNDATION; GOOD ATTITUDE; ONG MAPENDO, CATSR ; KINDE FONDATION PANAFRICAINE, réunis vendredi au centre Likemo dans la commune de Bandalungwa  pour commémorerez la Journée internationale de l’aide humanitaire célébrée le 19 aout de chaque année, ont cogité autour des voies et moyens permettant la mise sur pied d’un cadre de concertation en faveur des opérateurs congolais de ce domaine.

Dogi Essabe Fimwana représentant l’association humanitaire « Cri des mères » et membre de l’ONG « Lisanga », a, en tant qu’initiateur de ce projet, estimé que seuls la mutualisation des forces et le travail en synergie, peuvent renforcer l’impact et accroitre l’influence des actions humanitaires locales sur les populations vulnérables habituées à être servies par des ONG internationales.

Pour lui, cette rencontre est le lieu de se dire toutes les vérités sur ce qui bloque l’avancement de cette catégorie d’acteurs sociaux, et de trouver des solutions idoines à cette problématique.

Handicaps dans l’engagement des humanitaires locaux

Les autres participants ont, dans leurs différentes interventions, relevé notamment le manque  d’appui financier, d’initiative  et de sérieux dans la réalisation des actions humanitaires ainsi que la recherche du gain facile, comme  handicaps dans l’engagement des humanitaires locaux. Ils ont également salué  ces assises organisées par « Cri des mères » en collaboration avec le centre LIKEMO, avant d’émettre,  le vœu de voir l’aboutissement heureux de ce projet.

Le directeur de ce centre, Roger Katembwe a expliqué à ses hôtes que le sigle « LIKEMO » tiré  du lingala « Libota (famille), Kelasi (école) et Mosala (travail) traduit le rôle  du centre dans l’accompagnement et l’encadrement des enfants en situation de rue aussi bien que dans leur réinsertion en familles et leur autonomisation à travers l’exercice des activités génératrices des recettes.

Il les a, en outre, conseillé d’user beaucoup de la patience et de se resserrer les coudes afin de bien réussir dans cette carrière bénévole, avant  de souligner que la COVI-19 qui pousse les gens à se regarder en chiens de faïence par peur de contamination, doit être considérée comme une opportunité pour aller de l’avant dans tout ce qu’on entreprend.

Propos recueillis par l’ACP ( Agence Congolaise de Presse)

DOGI ESSABE FIMWANA : Rendre un peu de ce que j’ai reçu

Qui est DOGI ESSABE FIMWANA ?

né à kinshasa capitale de la république Démocratique du Congo un certain 4 janvier date historique de ce pays.
Licencié en relations internationales option droit international spécialiste dans la prévention et résolution des conflits .

• Fondateur de l’ONG LISANGA et Chargé des projets dans L’ASSOCIATION HUMANITAIRE CRI DES MÈRES
• Défenseur des droits des enfants en situation de la rue communément appelés Shegueys
• Gestionnaire des projets caritatifs et humanitaires


Avec déjà plusieurs projets réalisés dans le domaine caritatif notamment :
• Prix de la vie 1ère Édition: concours littéraire au profit des orphelins de la maladie à virus Ebola
• NAENO : Nouvel An avec les Enfants Orphelins
• La Rue n’a pas d’enfants : activité réalisée au profit des enfants vivants dans la rue
• Une ecole assainie pour une meilleure éducation
• Mon sang mon pouvoir : Don de sang
• TANGISA ORPHELIN
• A Musée vous : visite guidée des enfants orphelins au musée national de la Rdc
• Génération sans VBG act 1 : avec les élèves du complexe scolaire NYOTA
• Génération sans VBG act 2 : avec les paroissiens de saint Charles Lwanga de Boma dans le Kongo central

la philanthropie pour moi c’est rendre le peu que j’ai reçu. Dogi ESSABE FIMWANA

TROISIÈME JOUR

poème de l’écrivain CHRIS KIOKA

TROISIÈME JOUR

Un penseur au calme inquiétant, qui grésille
Quelques mots que sa langue fouille,
Assis près de moi sous l’if ombrant
Avec un silence parlant et disant :

Le temps ne coule que pour nous
En brisant notre vie temporelle,
La mort interrompt la joie que nous
Avons devant l’être éternel,

Vivre est un pauvre décor en vérité,
Le paradis avec son ombre frémissante
Est un miroir d’une réalité
Parfois si simple et si touchante,

Nous disons: Ô éternité ! Pardon
Que l’ange ne coupe avec sa faux le cordon,
Malgré tout, la mort dit: je ne passe
Et nous monterons devant sa face,

Dans l’obscurité de nos tombeaux,
Nous jeterons un regard en arrière
Sur notre passé qui fut si beau
Si nous pouvons ouvrir nos yeux pleins de lumière,

Dans la brume où l’âme frisonne,
Nous écouterons l’éternité qui sonne,
Tout ce qui naît, vieillit, et meurt,
Des plus beaux ans ne sont qu’éphémères.

Chris kioka Mbala
Extrait du poème tiré du recueil  » Balades «  à apparaître.

DEBORAH MASIALA : jeune entrepreneure CEO de M’AMOUR production

Bonjour à tous. DEBORAH MASIALA , jeune entrepreneur congolaise qui a fondé la société M’AMOUR, nous offre son témoignage sur son expérience de l’entrepreneuriat.
Cette interview m’a beaucoup plus et m’a d’autant plus enthousiasmé sur l’entrepreneuriat. J’espère que vous prendrez également plaisir à lire cette entrevue. Bonne lecture à vous


Congo Étoiles magazine : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

DEBORAH MASIALA : suis Déborah Masiala , je suis congolaise de la Rdc et j’ai 23 ans. diplômé en communication des organisations à l’Université pédagogique national, former en santé publique à PNMLS , activiste des droits de la femme et les enfants congolais notamment je travail avec l’ONG Cris des mères, Former en entrepreneuriat à Kinstartup academia et CEO de M’amour production qui est une startup spécialisé dans les conservation des fruits et légumes au naturel dont nous avons lancer notre premier produit qui s’appelle  » M’amour conserve de tomate au naturel »



Congo Étoiles magazine :Décrivez nous un peu votre parcours jusqu’à l’entrepreneuriat… Comment êtes-vous engagé dans le milieu entrepreneurial ?

DEBORAH MASIALA : vers l’année 2018 que j’avais pris l’initiative de me lancer à l’entrepreneuriat mais j’avais pas de formation sur la création d’une entreprise jusqu’à ce que j’étais sélectionnés à un concours national KINSTARTUP ACADEMY avec mon projet de M’amour conserve des tomates au naturel.
C’est par là que je me suis formé en entrepreneuriat.

Congo Étoiles magazine : Sur quel (s) projet (s) travaillez-vous actuellement?

DEBORAH MASIALA : Actuellement je travail sur le projet M’amour production

illustration du produit M’AMOUR



Congo Étoiles magazine : parler de votre produit M’Amour?

DEBORAH MASIALA : M’AMOUR production est d’abord une start-up spécialisée dans la conservation au naturel des fruits et légumes.
Notamment nous avons commencé avec notre tout premier produits qui est  » M’amour conserve des tomates au naturel »
Cette conserve dure pendant une année , ça n’oblige d’être gardé dans un congélateur et ça garde son couleur et son goût.

Congo Étoiles magazine : Pourquoi avoir choisi la production des tomates ?

DEBORAH MASIALA : Parce que je voulais résoudre les problèmes de la conservation des tomates et surtout que c’est un problème complexe que beaucoup des gens ne maîtrisent pas.

Et il y’a parfois des gens qui récoltent leurs tomates dans le champs et ils amènent ça sur le marché et ces tomates quand ça traine dans la maison ou sur le marché pendant 10 jours ou 15 jours , vous allez voir les tomates vont commencés à se détériorer.

C’est la raison pour laquelle moi en tant qu’entrepreneur je pensais résoudre ce problème , enfin d’éviter le gaspillage alimentaire en Rdc

Congo Étoiles magazine : Quelles ont été les principales difficultés auxquelles vous avez du faire face ?

DEBORAH MASIALA : Au début j’avais fais face à beaucoup des difficultés tel que : j’avais très peur de lancer , j’avais des difficultés à trouver des fournisseur pour mes emballages etc… Mais grâce à la confiance en soi j’ai pu surmonter tout les difficultés

Congo Étoiles magazine : Comment avez-vous financé votre création d’entreprise ?

DEBORAH MASIALA : le financement de mon entreprise est faite sur base de mes économies personnelles…

Congo Étoiles magazine : Pour finir, qu’est ce que vous retenez de cette aventure? Et quels conseils pourriez-vous donner aux personnes qui souhaitent se lancer?

DEBORAH MASIALA : une fois, l’aventure ne fait que commencer pour M’amour production,

Je pense que pour se lancer, il faut y aller à fond, mais toujours en réfléchissant à la réelle pertinence de l’idée que nous avons.

De plus, pour certaines personnes, il existe une certaine paranoïa quand on a une bonne idée. On ne veut pas en parler autour de nous et avons peur de s’entourer. Pour moi, il ne faut pas réagir de cette façon. Un projet bien entouré et accompagné a beaucoup plus de chance de réussir qu’un projet qui ne l’est pas. Entourez-vous, c’est ce qu’il y a de principal surtout au début.

😊faites le avec un projet auquel vous croyez personnellement, qui correspond vos valeurs.

Congo Étoiles magazine : un mot pour notre magazine Congo Étoiles qui met en avant les jeunes congolais

DEBORAH MASIALA : J’encourage vraiment ce que Magazine Congo Étoiles est entrain de faire avec la jeunesse congolaise et je vous dis coup de chapeau pour ce beau travail 😊👌🏿

propos recueillis par Congo Étoiles Magazine

AIDI : « la musique est une passion que je vit depuis mon enfance »

AIDI une jeune artiste congolaise qui se lance dans une musique qu’elle qualifie sans frontières qui va éveiller les hommes gigolos avec son nouveau tube YA WILLY

Bonjour Mademoiselle, vous allez bien?

AIDI : oui je vais bien merci!🙂

comment vous vous présentez à une personne qui vous ne connait pas? qui êtes-vous ?

AIDI : je suis Aidi , artiste musicienne

Quel est le titre et le thème de la première chanson que tu aies composée ?

AIDI : ya willy, et c’est déjà sur le marché.

Est-ce qu’il y a des chanteurs qui ont influencé votre manière d’écrire des chansons et de chanter?

AIDI : je dirai oui bien sûr mais loin d’être un model pour moi

Quels sont tes projets ?

AIDI : Après le confinement j’ai plusieurs projets que vous allez bientôt en savoir

Comment tu qualifierais ta musique ?

AIDI : je ne sais si j’ai les mêmes pensées que vous mais je dirait pour moi c’est une musique sans frontières qui va réveillé surtout les hommes gigolo

Tu te donnes combien de temps pour réussir ta vie de chanteuse ?

AIDI : le temps n’est pas défini parceque je donne presque la moitié de mon temps

Et pourquoi la musique?

AIDI : c’est une passion que je vit depuis mon enfance

L’artiste avec lequel tu rêves de faire un duo ?

AIDI : dans mon pays je dirai fally ipupa ailleurs rihanna

tu préfères être sexy ou classique ?

AIDI : je préfère être sexy mais il y a des occasions qui nous obligent d’être classique donc les deux me valent très bien.

un dernier mot pour nos lecteurs

AIDI : je vais leurs demander de continuer à consommer ya willy sur Aidi officiel
https://youtu.be/INJ3txDZs6o

un mot pour le magazine Congo Étoiles

AIDI : je dirai merci 🙏 pour le travail que vs faites de promouvoir les artistes vraiment continuer comme ça

Propos recueillis par Congo Étoiles Magazine

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