Déborah ABUANA NKUMU, le mannequinat n’est pas synonyme de la prostitution, « le mannequinat est un métier comme les autres ».

Devenue un top model incontournable au niveau national, Deborah ABUANA NKUMU part à présent à la conquête du cinéma.

Déborah Nkumu Abuana, plus connue sous le nom de Abuana Du Paradis est une actrice, Philanthrope et mannequin Congolaise.
A 20ans, elle est sacrée Top Model RDC lors de la soirée de la mode du 23 juillet 2016 au festival international des étoiles et a représenté la RDC au concours de beauté international, Miss Diamond of the world 2016.
Présidente-fondatrice de Abuana Nkumu Fondation qui a pour mission de redonner du sourire et restaurer la vie d’un enfant qui a perdu espoir. En exclusivité, elle se confie à Congo Étoiles magazine.

bonjour Deborah comment allez vous?

Déborah ABUANA NKUMU: bonjour! je vais bien merci.

Vous êtes aujourd’hui l’un des top models en Rdc. Quel est votre secret de beauté ?

Déborah ABUANA NKUMU : Je ne pas de secret de beauté comme telle, Mais pour mon physique j’en prend soins avec le sport et je nourri mon intellect.

Quels sont vos rêves ?

Déborah ABUANA NKUMU: Mon rêve est de voir le social de mon pays s’améliorer en construisant les centres des reéducation, et des maisons pour les sans abris.

Comment avez-vous été découverte ?

Déborah ABUANA NKUMU: Mon parcours est tellement complexe que ma découverte a été faite lors d’un casting d’un concours de miss que l’un de nos célèbres journalistes m’avait recommandé, et depuis lors je n’ai jamais cessé de travailler sur ma personne pour sortir mes potentiels.

Comment avez-vous réussi à opérer la transition entre les défilés de mode et le cinéma ?

Déborah ABUANA NKUMU: Je dirais juste que c’est dans le sang, parce que J’aime être devant le caméra et ça depuis mon enfance, alors le mannequinat je le développé au moment où j’avais arrêter avec les émissions télé sur une chaine de la place, (je cite pas le nom pour éviter la pub),
Cependant que le cinéma je le commencé avec le théâtre Congolais en 2014, puis le buzz internet et aujourd’hui je suis dans le film classique.
En conclusion la transition a été opéré par des événements et expérience sur mon parcours.

Est-ce que ta famille et tes proches t’ont encouragés ?

Déborah ABUANA NKUMU: Tout au long de mon chemin, ma famille reste ma force, sans ma famille je ne serai jamais qui je suis aujourd’hui.
Mon entourage aussi participe malgré que je suis une personne discrète, mais les messages d’espoir et du réconfort venant d’eux m’a toujours fait du bien.

Dans quel état d’esprit es-tu lorsque tu marches sur le podium ? Est-ce que tu aimes cette sensation ?

Déborah ABUANA NKUMU: Wow, je ne sais le décrire, car sur podium je vis la folie, je vis tout ce qui ne m’est pas permit.
Pour moi la marche sur le podium est une manière de m’évader et en quelques sortes cela représente le parcours d’une vie sur terre, (on marche avec un objectif malgré les regards des gens, on atteint le but et on repart).

Est-ce que la vie de mannequin a eu un grand impact sur ta vie personnelle ?

Déborah ABUANA NKUMU: Oui bien-sûr car cela a contribue à la personne que je suis, dans tout ce que je fais, principalement dans ma manière de marcher, s’asseoir, manger, parler...

Peux-tu partager l’un de tes meilleurs souvenirs lors d’un défilé de mode ?

Déborah ABUANA NKUMU: (sourire) , c’était lors d’un défilé au Grand Hôtel de Kinshasa qu’après la soirée un monsieur m’a approché pour me dire que j’avais les yeux braqués sur lui lors des mes passages et il était tellement persuadé que je me suis dis combien ont pensé comme lui.
Et cela m’arrive souvent !

Quels sont les avantages et inconvénients de mener une vie de mannequin ?

Déborah ABUANA NKUMU: Les avantages est que le métier de mannequinat reste une façon de se faire connaître grâce à l’influence des médias et des réseaux sociaux.
La beauté d’un mannequin attire beaucoup de société et de marques. Par conséquent, étant mannequin on reçois des offres et les signatures de contrat de ces sociétés qui nous permettent de vivre et aussi un salaire pour les diverses prestations.
En plus, les mannequins sont entourés des célébrités et des personnes venant de la haute société, donc ça nous arrive de créer des relations pour la suite de nos vies professionnelles.

Les inconvénients sont :
_Beaucoup des sports et surtout faire attention à son alimentation
_Plus de vie privée : suivis à tout moments et les gens veulent connaitre ce que tu fais et avec qui tu traine.
_L’affichage d’une image parfaite : c’est un grand souci parce qu’il faut penser avant de parler et de ne pas sortir sans avoir une tenue impeccable.
_La durée du métier : elle est stable jusqu’à 25 ans où il faut penser à un autre métier.
Pour ça je conseil aux filles de penser déjà à autres choses et surtout de ne pas abandonner les études car cela est très important.

Pour toi être mannequin, c’est un métier, une passion ou pour le plaisir ?

Déborah ABUANA NKUMU: C’est un métier comme tout autres.

Est-ce que tu trouves qu’il y a une différence dans la manière dont sont traités les mannequins hommes par rapport aux mannequins femmes ?

Déborah ABUANA NKUMU: Non non chacun fait son travail selon qu’il lui ai demander.

Quelle est ta philosophie de vie ?

Déborah ABUANA NKUMU: La vie, elle mérite d’être vécue tout en sachant que nous pouvons disparaître un moment à l’autre, affronter les obstacles, essayer des nouvelles choses et ne jamais ceder à la peur de quoi que ce soit ou de qui que ce soit.
Et surtout vivre en ayant le fils dans sa vie.

Quelle est ta définition du beau ?

Déborah ABUANA NKUMU: Pour moi le beau ou la beauté est tout ce qui est au-delà du physique.
C’est la pureté de l’âme, car si l’intérieur est bon l’extérieur sera meilleur.
C’est l’ensemble du physique et spirituel.

Quels sont tes projets pour 2025 ?

Déborah ABUANA NKUMU: Mes projets pour 2025 est l’accomplissement de mon rêve sur le social de mon pays.

Que peux-tu dire aux personnes qui pensent que le mannequinat est lié à la prostitution ?

Déborah ABUANA NKUMU: Je dirais à toutes ces personnes que le mannequinat est un métier comme les leurs alors qu’ils en donnent beaucoup de respect.

propos recueillis par Congo Étoiles magazine

SANTUS KALAMA, je prends la photographie comme un language avant d’être l’écriture de la lumière, je transmet l’amour, j’interpelle pour les réalités de la vie et je rends hommage à la beauté africaine.

La relation entre le design, la mode, le mannequinat et la photographie est essentiellement liée à la qualité d’une image.

Le jeune photographe SANTUS KALAMA l’a bien compris, et arrive à mettre en exergue les personnalités cachées derrière les visages des mannequins avec qui il travaille. Nous lui avons posé des questions sur l’origine de sa passion, ses techniques pour bien communiquer avec son modèle, et plein d’autres choses…

Salut Santus , peux-tu te présenter ?

Santus KALAMA : Je me nomme santus pour les uns SM pour les autres je suis un photographe congolais vivant à Kinshasa, CEO de SM DESIGN PHOTOGRAPHY.

Comment ta passion pour la photographie est-elle née ?

Santus KALAMA : Ma passion pour la photographie est née quand j’assistais aux séances photos d’un ami je voyais comment il travaillait etant donné que j’étais aussi désigner je m’etais dis que je dois ajouter la photographie aussi dans mon metier question de rendre parfait mon travail.

Où trouves-tu ton inspiration ?

Santus KALAMA : Mon inspiration je le trouve un peu de partout notamment dans la vie quotidienne et dans l’histoire.

Quel message, émotion souhaitez-vous transmettre au travers de vos œuvres ?

Santus KALAMA : Étant donné que je prends la photographie comme un language avant d’être l’écriture de la lumière, je transmet l’amour, j’interpelle pour les réalités de la vie et je rends hommage à la beauté africaine.

Quelle est l’étape que tu préfères dans la réalisation d’un shoot et pourquoi ?

Santus KALAMA : Il y en à deux
1. Le repérage
2. Mise en scène
Le repérage me permet de faciliter et d’améliorer les idées sur ce que je ferai.
Mise en scène parce-que c’est le moment qui me permet de laisser la place à ma créativité.

Quels conseils donnerais-tu à un jeune photographe ?

Santus KALAMA : De ne pas mettre l’argent avant son art.

Quels sont tes projets futurs (si tu peux en parler) ?

Santus KALAMA : J’en ai mais je préfère pas en parler pour le moment.

Quelle est la différence entre un photographe professionnel et un photographe amateur ?

Santus KALAMA : La photographie professionnel c’est quand quelqu’un fait de la photographie sa profession, son gagne pain, la photographie amateur par contre c’est quand on le fait parce qu’on aime ça sans pour autant en faire une profession.

Quel est le rôle de la photographie ?

Santus KALAMA : La photo est très importante dans notre vie car elle nous rappelle des moments, des personnes et des souvenirs.

Dan KAPAYA, je demande aux jeunes entrepreneurs de nos jours d’être au lieu de paraître

Ce samedi 21 mars 2020 le président de l’organisation non gouvernementale Empire Of Children (EOC) a accordé une interview à notre magazine et ce dernier a beaucoup plus martelé sur le secteur de l’entrepreneuriat par les jeunes et comment la plus part de nos jours s’improvisent « entrepreneur ».

Dan kapaya : Nous sommes dans une génération où nous sommes butés à un problème d’être concret c’est à dire faire un travail réel et sur le terrain mais pourtant beaucoup aujourd’hui (des jeunes) s’improvisent entrepreneurs et préfèrent beaucoup plus manipulés les gens en faisant du bruits sur les réseaux sociaux mais en vrai y a rien de concret.

Mag open : Mais gens gagnent quand-même de l’argent tout comme vous bien que vous dites qu’ils font que des bruits.

Dan Kapaya : Vous savez qu’aujourd’hui nous sommes dans un monde rempli des spectacles, tout le monde sur les réseaux sociaux vous dira qu’il gagne de l’argent, mais le plus décevant en est que lorsque vous creusez dans le fond, vous verrez que ce sont des gens qui ne font rien de leurs journées et ils sont plutôt là avec une bonne connexion internet à faire des postes (sur les réseaux sociaux) pour montré qu’ils travaillent et à mon humble avis je ne crois pas que des personnes qui travaillent à longueur de journée auront à faire des postes à tout moment sur les réseaux.

Mag open : Cela ne veut pas forcément dire que ces gens ne travaillent réellement pas! Et si cela serait une certaine manière de vendre l’image de leurs produits

Dan Kapaya : Je ne dis pas que c’est mauvais de vendre l’image de son produit sur internet, d’ailleurs nous, on le fait avec nos différents services que nous offrons. Mais faut vendre réellement l’image de son produit,et de manière crocrete et de manière virtuelle parce que les travaux ne se font pas que sur internet, mais beaucoup plus sur terrain, et non seulement sur les réseaux sociaux.

Mag open : Quels conseils donnerez-vous à ceux là qui se retrouvent dans ces cas d’espèces?

Dan Kapaya : Bon, ce que je pourrais donner comme conseil avec ma petite expérience ; il faut que les gens arrêtent de faire semblant, il faut être et non paraître, parce que c’est ça le problème que nous avons maintenant, tout le monde veut créer une entreprise mais ce dernier ne veut pas passé par le processus. Ces genres personnes préfèrent brandir beaucoup plus ce qu’ils ne font pas dans le vraie vie sur les réseaux sociaux (comme si leurs entreprises avaient déjà fait plus de dix ans)et c’est qui fait échoué beaucoup.

Mag open : Mais pourquoi vous n’organisez pas des conférences avec des telles thématiques pour édifiées ceux-là?

Dan Kapaya : Oui, je le reconnais et j’admets que c’est une défaillance de ma part, je le dis souvent dans les couloirs avec mes proches, mais, je le ferai cette fois-ci pour interpeller ceux-la qui font semblant de travaillé alors qu’ils se mentent eux même.

Mag open : Dernière question que ce que la société congolaise peut atteindre de vous?

Dan Kapaya : La société congolaise peut attendre que des bonnes choses venant de moi, j’ai plusieurs projets surtout pour mon pays et mon continent l’afrique, là ce n’est que le début, et je penses qu’ensemble avec d’autres entrepreneurs nous en ferons encore mieux.

C’est par ici que s’est achevée notre interview avec le président de l’ONG empire of children.

propos recueillis par Magazine Open Activity

Docteur Chris KIOKA MBALA, en RDC le Corona virus n’est pas un mythe mais une réalité.

bonjour docteur, comment allez vous?

chris Kioka: Oui je vais très bien

une petite présentation pour nos internautes, qui êtes-vous ?

chris kioka: Je suis le docteur Chris kioka Mbala.

okay merci docteur, l’actualité oblige pouvons nous parler de la pandémie Corona virus ?

chris Kioka: Oui je suis à vous !

Qu’est-ce qu’un coronavirus ?

chris Kioka: Par définition, le coronavirus est un virus de la famille de coronaviridae portant des excroissances évoquant une couronne, d’où le nom de coronavirus.

Comment se transmettent les coronavirus émergents ?

chris Kioka: Nous devons savoir que l’hôte principal c’est l’animal ,il héberge le virus mais sans être malade, il transmet ce virus à un autre hôte intermédiaire ( qui est la civette palmiste masquée, consommée et vendue sur les marchés au sud de la chine), ensuite celle-ci le transmet à l’homme, qui tombe malade.
Voilà comment le coronavirus émergents et se transmet.

Quels sont les symptômes du Covid-19 ?

chris Kioka: Covid-19 ou coronavirus disease-19 a comme symptômes :
1) la fièvre,
2) la toux sèche,
3) des maux de tête,
4) des courbatures,
5) sensation d’essoufflement,…
Tous ces symptômes évoquent une infection respiratoire aiguë pouvant se s’aggraver et entraîner une détresse respiratoire aiguë,une insuffisance rénale aiguë, une atteinte multiviscerale ,voir la mort .

Existe-t-il un vaccin contre le Covid-19 ?

chris Kioka: Pour le moment non,le coronavirus est tellement nouveau et specifique qu’il faut elaborer un vaccin qui lui ai propre, mais des essaies cliniques sont en cours, mais le vaccin qu’on administre ,c’est le vaccin contre la pneumonie ou contre les infections respiratoire, comme le vaccin anti pneumocoque et anti hémophilys influenza, qui ,malheureusement, ne protègent pas contre le coronavirus.

Y a-t-il des personnes à risque de développer une forme plus sévère de la maladie ?

chris Kioka: Oui, des personnes à risque sont les personnes souffrant des maladies chroniques pré existantes comme :
l’hypertension artérielle, du diabète,maladie cardio-vasculaires,maladie respiratoire, maladie hépatiques, voir même les personnes âgées et les immunodéprimés.

Quelles sont les mesures mises en place au stade 3 de l’épidémie ?

chris kioka: Les mesures mises en place au stade 3 de l’épidémie, c’est le confinement pour une durée de 2 semaines ,à partir du 17 mars à 12h.

Et un mot à la population congolaise qui doute encore de l’existence du Corona virus sur le sol congolais , quel message vous pouvez lancer?

chris kioka: Je leur dirait que le coronavirus n’est pas un mythe, mais une réalité. Que chacun où il est prenne des précautions et mesures pour éviter la contamination à ce virus, suivant les règles, bien sûre, qui ont été éditées par le ministère de la santé.

d’accord! merci docteur pour l’interview nous vous remercions

Chris kioka: c’est moi qui vous remercie !

LINDA YOWA LOLA, Femme crois toujours en toi

Salut Linda comment allez vous ?

Linda Yowa: Salut je vais bien merci.

une petite présentation, qui êtes-vous ?

Linda Yowa: Je suis yowalola linda chargée de communication de la structure Osaré kingdom et secrétaire exécutif de la branche Osaré fondation.

la structure Osaré est basée sur quoi?

Linda Yowa: La structure Osaré est une panoplie de structure si je peux m’expliquer elle renferme plusieurs branches en elle mais en générale elle s’occupe de la communication.

vous pouvez nous expliquer le contenu du projet Femme en Danger ?

Linda Yowa: Femme en danger est un projet de lutte contre toutes formes de violences faites à la femme , nous nous engageons par cette voie à la protection et à la sécurité de la femme que nous considérons comme mère de civilisations car elle est porteuse et génératrice de la vie humaine.

Qu’est ce qui caractérise les violences ?

Linda Yowa: Les violences sont caractérisées par une utilisation intentionnelle de la force physique, des ménaces à l’encontre de soi même ou des autres, contre une communauté ou un groupe, qui entraînent ou risque de donner accès à des traumatismes,des dommages psychologiques, des problèmes de développement voir un décès.

comment ou par quels moyens la structure Osaré à travers son projet Femme en Danger compte mettre fin aux violences faites aux femmes ?

Linda Yowa: La structure Osaré à travers son projet femme en danger compte mettre fin aux violences faites aux femmes à travers un éveil de conscience, une prise de conscience ainsi qu’ une sensibilisation autour des violences faites à la femme qui est de nos jours une situation qui n’honore pas la femme et ne fait que l’enfoncer.
Elle vise aussi avec des plans bien établi a collaborer pourquoi pas avec le ministère de la sécurité et celui du genre et famille pour sécurisé et protéger la femme victime mais aussi celle qui ne sont pas encore victime de ce fléau.

qu’est-ce que nous pouvons retenir en ce qui concerne la lutte contre les violences faites aux femmes ?

Linda Yowa: Il faut reconnaître que les violences faites aux femmes sont une question de discrimination fondée sur le sexe et sur l’inégalité entre hommes et femmes. Nous ne pouvons pas espérer retarder ces violences sans tenir compte du contexte général dans lequel évoluent les femmes et de la nécessité du respect de leur droits fondamentaux en général.

et un mot pour les femmes en ce mois de mars dédié à la femme

Linda Yowa: Femme crois toujours en toi et ne te laisse pas Faire quelque soit les circonstances que tu traverses apprend à connaître tes droits afin de les réclamer quand ceux ci ne seront pas respecter .

merci nous vous remercions du temps accordé

Linda Yowa: C’est à moi de vous remercier pour cette occasion ainsi que cette belle initiative.

DORCAS KAPINGA, le 08 mars n’est pas une journée de port du pagne.

bonjour madame Dorcas, vous allez bien ?

DORCAS KAPINGA: Bonjour Monsieur je vais bien par la grâce de Dieu

une petite présentation pour les personnes qui vous connaissent pas, qui êtes vous?

DORCAS KAPINGA: je suis Dorcas KAPINGA, chroniqueuse reconnue sous le nom de Mwasi ya Congo je présente une emission sur youtube sur la femme.

vous êtes chroniqueuse d’une émission parlant de la femme, pouvons nous aborder le sujet sur la journée internationale des droits des femmes ?

DORCAS KAPINGA: oui avec plaisir

Quel est le but de la journée de la femme ?

DORCAS KAPINGA: La journée des Femmes ou Journée Internationale pour les Droits des Femmes est célébrée le 8 mars de chaque année. Le but est de réfléchir sur les conditions des Femmes dans le monde et de lutter contre les inégalités face aux hommes.

Quelle est l’origine du 8 mars ?

DORCAS KAPINGA: La Journée internationale des femmes , également appelée journée internationale des droits des femmes dans certains pays , est célébrée le 8 mars . C’est une journée internationale mettant en avant la lutte pour les droits des femmes et notamment pour la réduction des inégalités par rapport aux hommes .

Quel est le thème de la Journée internationale de la femme 2019 ?

DORCAS KAPINGA: « Je suis de la Génération Égalité : Levez-vous pour les droits des femmes »

Quels sont les droits de la femme ?

DORCAS KAPINGA: le droit à l’intégrité et à l’autonomie corporelle ; les droits civiques, dont le droit de vote et le droit de participer à la vie politique via l’éligibilité et la participation effective au pouvoir exécutif à travers une forme de parité. le droit à l’égalité devant la loi et à « l’autonomisation »

un dernier message pour les femmes, que peuvent retenir les femmes en ce qui concerne la date du 08 mars?

DORCAS KAPINGA: le 08 mars n’est pas une journée de port du pagne.
La journée des droits des femmes a été associée au port du pagne au Congo depuis quelques années. Alors qu’elles devraient fonder leurs actions sur des rendez-vous utiles destinés à revisiter le chemin parcouru pour leur émancipation, les femmes préfèrent festoyer et le pagne devient le symbole indispensable.

merci nous vous remercions

DORCAS KAPINGA: c’est à moi de vous remercier.

DAN KAPAYA, Je suis animé par le principe d’aimer et d’aider le prochain

Salut Mr. KAPAYA comment allez vous?

DAN KAPAYA : Oui cava très bien et vous ?

oui ça va Mr.

pourriez-vous nous faire une petite présentation de qui vous êtes?

DAN KAPAYA: Je suis dan kapaya, je suis ingénieur technicien en pétrole et gaz département forage et production pétrolière, je suis entrepreneur, DG de la société empire service, représentant de l’agence internationale worldventures j’ai aussi un côté philanthropie donc je suis président d’une ONG empire of children qui a pour but d’aider les enfants démunis.

Ingénieur,DG et philanthrope comment arrivez-vous à combiner ces attributions?

DAN KAPAYA : Bon je ne suis qu’un chef d’orchestre j’ai des collaborateurs qui travaille avec moi.

Parlant de votre ONG empire of child, quelles sont vos domaines d’activités ?

DAN KAPAYA : Nos mettons accent sur la santé, l’éducation et l’autonomie de la jeune fille.

Qu’est-ce qui vous a motivé dans ce domaine du bénévolat ?

DAN KAPAYA : Je suis animé par le principe d’aimer et d’aider le prochain avec le peu qu’on a.

Aujourd’hui nous assistons à une prolifération des associations caritatives, est-ce toujours dans le but d’aider ou il y a du lucre caché derrière ça ?

DAN KAPAYA: Non non.

Parler nous un peu de votre entreprise Empire service

DAN KAPAYA : Empire service est une entreprise qui offre des services aux particuliers ainsi qu’aux entreprises
Nous sommes dans:
1.l’assainissement des bâtiments et entrepôt
2. Placement des aides-ménagères professionnelles
3. Baby-sitting
4. Repassage des vêtements à domicile
5. Ramassage des ordures

Là on comprend que vous êtes un jeune entrepreneur, etant que jeune entrepreneur pourriez-vous estimer la place qu’occupe l’entreprenariat des jeunes dans notre société ?

DAN KAPAYA : L’avant dernière place, car nous sommes dans une société où on privilège la politique que l’entreprenariat est pourtant nous les entrepreneurs nous engageons les jeunes gens nous faisons partie des personnes qui réduisent les chômages.

Quel message vous pouvez envoyer aux jeunes qui hésitent de se lancer dans l’entreprenariat ?

DAN KAPAYA: Le message que j essayer toujours a dire aux jeunes se de croire en leurs projet, rêve et de passer a l’action sur passer l’action et de travailler sincèrement parc que nous sommes dans un monde où ya beaucoup des jeunes entrepreneurs qui font semblant de travailler mais en réalité ils ne font rien ils préfèrent faire semblant sur le réseau sociaux au lieu de vraiment ce mettre au travail.

Merci d’avoir repondu à notre invitation nous vous remercions

DAN KAPAYA: Merci je vous remercie encore c’est avec plaisir de partager ça ce moment🙏🏻

WENDY CHRISTELLE MULEMANGABO, Une étoile brillante du Nord-kivu

pourriez-vous nous faire une petite présentation de qui vous êtes?

WENDY CHRISTELLE: Je réponds au nom de Christelle Mulemangabo Wendy, je suis Congolaise. Je vis à Goma dans le Nord Kivu. Étudiante en 3e année de graduat en Sciences de l’information et de la communication.
Je suis coordinatrice provinciale de l’association humanitaire Cri des mères, passionnée du bien-être de la femme , mon rêve est d’être une source de motivation, d’inspiration et un boost pour mes jeunes sœurs qui voudront montrer combien vaut la femme et laver l’image ternie de la jeune fille congolaise.

Entre journée internationale des femmes et journée internationale des droits des femmes, il y a une différence ?quel terme préférez-vous ?

WENDY CHRISTELLE: Il y a une si grande différence, je préfère que tout le monde comprenne qu’il faut parler de la journée internationale des droits de la femme. Car c’est une journée qui a été instaurée pour faire comprendre combien il est primordial de lutter pour le respect des droits des femmes mais il y a qui ont fourni des efforts pour distraire les femmes avec des pagnes,fleurs,cadeaux …une façon de les faire taire les yeux bandés et ainsi les empêcher de comprendre la nécessité de cette journée.
Et donc, il ne faut pas parler de la journée internationale des femmes car on n’est pas femme que le 8 mars, on est femme chaque jour. Et être femme c’est bien plusqu’une paire des seins et un vagin…. ou mettre des jupes et des pagnes, porter des hauts talons et du make up…
Être femme c’est avant tout un état d’esprit.

Etant que passionnée du bien-être de la femme, que pensez vous de la parité homme et femme?

WENDY CHRISTELLE: Je suis plus partisane de la notion d’équité.
Car à mon avis, le mot parité a été compris de travers en Afrique. Mais aussi il y a beaucoup de défis à relever avant de parler parité.
Point n’est donc besoin de sauter du coq à l’âne. Allons étape par étape si nous voulons réussir.

Quelles sont selon vous les causes de la faible représentativité de la femme au sein des institutions étatiques de notre pays ? La femme elle-même ? Ou l’état ?

WENDY CHRISTELLE: À mon avis, que je pense plusieurs personnes partagent, la femme congolaise ne veut pas travailler, elle ne veut pas manifester sa force, elle ne veut pas oser, elle a peur d’échouer, crains les préjugés et stéréotypes sur la femme travailleuse.
Jamais on a refusé à une femme de travailler sous prétexte qu’elle est Femme, raison pour laquelle il faille approcher les jeunes filles et leurs faire comprendre qu’elles constituent un obstacle pour leur émancipation.

Comment peut-on lutter contre les violences faites aux femmes ?

WENDY CHRISTELLE: Simple. En louant sa personne avec un culte digne de son caractère mystérieux. En respectant qui elle est et comprenant combien elle vaut…. en imaginant le monde sans elle.

Le féminisme est-il un mouvement nécessaire de nos jours ?

WENDY CHRISTELLE : Oui, ce mouvement est important car on suppose qu’il amène les filles à se remettre en question et se mettre au travail.

As-tu un message pour toutes les autres femmes ?

WENDY CHRISTELLE : Oui,
À toutes les femmes, je voudrais qu’elles sachent combien elles valent et qu’elles se mettent au travail.
Il leur faut comprendre que c’est d’elles que la société attend le changement et qu’elles doivent réussir car elles en sont capables.
Je dis toujours que là où les hommes ont échoué, c’est nous les femmes qui allons réussir alors, au travail! Commençons maintenant, n’attendons plus demain.

Merci Wendy pour l’interview accordée à notre Magazine Congo Étoiles , bon vent dans votre lutte

WENDY CHRISTELLE: C’est moi qui vous remercie

BODI KIYANZA PARFAIT, Une Étoile montante du Football congolais


BODI KIYANZA PARFAIT
Âge : 19 ans
Poste : attaquant de pointe (9)
Pied fort: droit
Taille: 1m86
Poids: 80kgs
Équipe : As Etoiles de binza ( 2ème division Lukunga/kinshasa rdc)
Qui est BODI KIYANZA PARFAIT ?
Le jeune BODI KIYANZA PARFAIT issue de l’académie Etoiles de Binza à peine 19 ans et 80 matchs avec l’équipe première a battu le record des buts au sein de l’équipe première avec 56 buts marqués en 80 matchs avec une moyenne de 0,6 but par match. Avec seulement 27 matchs cette saison le jeune joueur a déjà marqué près de 19 buts. Que dire de ce jeune talent congolais ?

Premier article de blog

Ce samedi 07 mars 2020 l’ONG LISANGA en partenariat avec l’association Humanitaire cri des Mères , la fondation Lisalisi et la Fondation Abuana Nkumu seront en visite au musée national de la Rdc pour accompagner les enfants orphelins. Une activité caritative qui se veut d’une très grande importance pour les enfants pour apprendre l’histoire de notre nation.

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